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Empire Review

A 2015 New York Times L’enquĂȘte a rĂ©vĂ©lĂ© que 74% des agences amĂ©ricaines d’application de la loi considĂ©raient les extrĂ©mistes d’extrĂȘme droite comme une menace plus grande que les terroristes islamiques. Ce qui fait le nouveau thriller Empire un film important, ne serait-ce que pour son thĂšme.

Lorsque le FBI dĂ©couvre une expĂ©dition de contrebande de cĂ©sium, l’agence suppose rapidement qu’il Ă©tait destinĂ© Ă  une cellule terroriste musulmane radicale. Mais la gestionnaire de cas Angelina Zampino (Toni Collette) soupçonne que c’Ă©tait le travail de suprĂ©macistes blancs, et contre la volontĂ© de ses supĂ©rieurs, elle envoie la jeune analyste idĂ©aliste Nate Foster (Daniel Radcliffe) pour enquĂȘter. Se rase la tĂȘte, lit sur Timothy McVey et Ma lutte, et trĂšs vite il est profond, bien au-dessus de sa tĂȘte.

Sur papier, c’est Donnie Brasco avec les nĂ©onazis au lieu de la mafia. Et c’est une version surtout prĂ©cise du film. Si vous avez vu Les morts ou Serpico ou Point de rupture, vous savez exactement le rythme cardiaque qu’il va frapper. Il y a des endroits oĂč vous craignez d’ĂȘtre trop profond, assis dans un parking dĂ©sert avec votre chauffeur. Il y a une scĂšne oĂč il laisse accidentellement certaines choses du FBI et le gang qu’il infiltre apparaĂźt sans avertissement. Un moment oĂč il rencontre quelqu’un qui le reconnaĂźt de sa vraie vie. Un membre d’un gang qui pense qu’il a un vrai lien avec lui et qui se sent mal de les trahir. Environ une semaine aprĂšs la performance de Bryan Cranston Infiltration, il est difficile de ne pas trouver tous ces clichĂ©s un peu fatiguĂ©s. Mais c’est toujours un thriller glissant, bien fait et fascinant.

Radcliffe fonctionne bien avec le matĂ©riau. Pour commencer, son accent est un peu gĂȘnant, mais une fois qu’il devient secret, il est convaincant comme le genre de garçon en colĂšre et confus mais intelligent qui pourrait ĂȘtre sĂ©duit par les niveaux supĂ©rieurs du mouvement du pouvoir blanc. Combattez certains des dialogues les plus maladroits – le script a l’habitude de vous faire dire de grosses informations nĂ©o-nazies que mĂȘme le vrai croyant le plus obsessionnel ne dirait tout haut, mais Ă  part ça, c’est une autre croissance impressionnante. rĂŽle pour lui. Le personnage de Toni Collette est fondamentalement chaque vĂ©tĂ©ran du FBI grisonnant, tout en un, mais elle le rĂ©duit parfaitement.

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